un souffle... un mot... un envol...
  • Présentation
  • Mes Ateliers
  • Documentation
    • Lexique
    • Guide >
      • Guides ÉHDAA (élèves handicapés ou en difficulté d’adaptation et/ou d’apprentissage)
      • Preschool Talk Box
      • School-Age Talk Box
      • How to Create a Talk Box
    • Chroniques >
      • Margo l'Ergo/ Margo OT
      • Margo l'éducatrice spécialisée
      • Chroniques du Mille-Pattes
      • Ergo Ressources
      • Service de psychoéducation Martine Dugas
    • Livres >
      • Maisons d'édition et Centres de documentation
    • En ligne
  • Ressources
    • Associations/Organismes/soutien >
      • Dysphasie/Langage/Dyspraxie
      • TDA/H /Trouble Apprentissage
      • Autisme/TED
      • Déficience intellectuelle
      • Santé mentale
      • Handicap physique
    • Les professionnels >
      • Ergothérapeutes/Physiothérapeutes
      • Neuropsychologue/psychologue
      • Orthophoniste/Audiologiste
      • Orthopédagogue/psychoéducatrice/éducatrice spécialisée
      • Zoothérapie
      • Santé - traitement alternatif
    • Ateliers de Stimulation
    • Répit - camp
    • Loisir
    • Matériels >
      • Jeux/Matériels/Outils
      • Magasins/Entreprises spécialisés
      • Joujouthèque/Ludothèque/Matériathèque
    • Petite Enfance / Early Childhood
    • Éducation à domicile
    • Programmes d'aide
    • Fondations d'aide
  • Formation
    • Formation Sensorielle
    • Formation TED/ TSA/ Autisme
    • Formation Langage
  • Actualité/Articles
  • Contact

Soutien additionnel pour les parents d'élèves handicapés - Nouveau programme pour les élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans

27/6/2012

1 Commentaire

 
SPortail Québec > Actualité gouvernementale > Fil de presse > Soutien additionnel pour les parents d'élèves handicapés - Nouveau programme pour les élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans 
http://communiques.gouv.qc.ca/gouvqc/communiques/GPQF/Juin2012/20/c2680.html 

MONTRÉAL, le 20 juin 2012 /CNW Telbec/ - La ministre de la Famille, Mme Yolande James, a annoncé aujourd'hui la création d'un nouveau programme permanent de soutien financier aux services de surveillance d'élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans.

Les services de surveillance s'adressent aux élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans qui fréquentent l'école secondaire et qui, en raison de leurs limitations fonctionnelles, ne peuvent demeurer seuls à la maison en dehors des heures de classe. Ces services s'inscrivent dans une démarche de conciliation travail-famille et visent à offrir aux parents de ces enfants des conditions favorables à l'occupation d'un emploi ou à la poursuite des études.

« Je suis très heureux de voir que la Stratégie d'action jeunesse a servi de tremplin à la création d'un programme permanent de soutien aux services de surveillance des élèves handicapés de 12 à 21 ans. Financé en partie par la Stratégie d'action jeunesse, ce programme permettra d'assurer la stabilité et la pérennité de ces services », a affirmé le premier ministre du Québec et ministre responsable des dossiers jeunesse.

« Les parents de jeunes handicapés ont souvent des défis particuliers avec lesquels ils doivent quotidiennement jongler. Ils doivent pouvoir confier leur enfant à des personnes de confiance lorsqu'ils sont au travail. C'est une condition essentielle pour une conciliation travail-famille réussie », a déclaré la ministre de la Famille.

Les organismes à but non lucratif qui offrent des services de surveillance d'élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans en dehors des heures de classe ainsi que les établissements d'enseignement et les commissions scolaires ont jusqu'au 31 août 2012 pour déposer une demande d'aide financière au ministère de la Famille et des Aînés dans le cadre de ce programme.

« Les élèves handicapés ont besoin d'un encadrement particulier. La création de ce programme est une excellente nouvelle pour des organismes comme le nôtre qui souhaitent offrir du soutien à ces élèves. Mais avant tout, ce sont les jeunes et leurs parents qui peuvent se réjouir de ce financement, qui permettra d'assurer la continuité des services et d'en développer de nouveaux », a précisé Mme Danielle Landry, responsable du service de garde de l'école de l'Horizon-Soleil.

Des crédits additionnels pour mieux répondre aux besoins

En 2011-2012, 14 organismes ont été financés, notamment par l'entremise de la Stratégie d'action jeunesse 2009-2014, pour offrir des services de surveillance à environ 292 élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans. Pour répondre à l'ensemble des besoins établis et assurer la continuité des services au-delà de la Stratégie, des crédits additionnels de 330 000 $ en 2012-2013, de 670 000 $ en 2013-2014 et de 880 000 $ pour les années subséquentes ont été accordés au ministère de la Famille et des Aînés dans le dernier budget. Considérant les budgets déjà disponibles, ce nouveau programme disposera donc d'une enveloppe de 660 000 $ en 2012-2013 et d'un financement stable et récurrent de 1 million de dollars à compter de 2013-2014, ce qui permettra d'assurer la continuité des services existants et d'en développer de nouveaux. Il sera alors possible de soutenir graduellement un nombre important de projets.

« Les organismes et les établissements qui offrent de tels services sont des partenaires précieux pour le gouvernement. Par leur capacité à répondre aux besoins exprimés sur le terrain, ils contribuent à améliorer la qualité de vie des familles, et je les en remercie », a conclu la ministre James.

Pour plus de renseignements sur ce programme

Rappelons que le Programme de soutien financier aux services de surveillance d'élèves handicapés âgés de 12 à 21 ans a été élaboré par un comité interministériel réunissant le ministère de l'Éducation, du Loisir et du Sport, le ministère de la Santé et des Services sociaux et l'Office des personnes handicapées du Québec, sous la direction du ministère de la Famille et des Aînés. Pour plus de renseignements sur ce programme, veuillez consulter le www.mfa.gouv.qc.ca/surveillanceeleveshandicapes.

Bas de vignette : "Yolande James, ministre de la Famille, Jasmine Daigneault, Alain Daigneault, Lyne Loiselle, Jean-Denis Lefebvre, du Service de surveillance des jeunes handicapés âgés de 12 à 21 ans de la région de Châteauguay et Pauline Couture, directrice générale du Groupement des associations de personnes handicapées de la Rive-Sud de Montréal. (Groupe CNW/Cabinet de la ministre de la Famille)". Lien URL de l'image :http://photos.newswire.ca/images/download/20120620_C2680_PHOTO_FR_15367.jpg


1 Commentaire

Problématique chez un enfant ; comment en parler avec les parents?

7/6/2012

0 Commentaires

 
 source: Éducatout.comEnfants à besoins particuliersTémoignages et chroniques-conseils pour vous accompagner dans l'intégration des enfants à besoins particuliers au quotidien.http://www.educatout.com/edu-conseils/enfants-besoins-particuliers/chroniques-conseils/problematique-chez-un-enfant-comment-en-parler-avec-les-parents.htm?utm_medium=email&utm_campaign=Bulletin+educatout+du+7+juin+2012&utm_source=Cyberimpact 

Bonjour Madame Deslauriers, 

Je suis éducatrice dans une garderie privée et un enfant de mon groupe semble avoir un retard de développement. J’ai même cru qu’il pourrait être autiste, malgré que je n’en sois pas certaine. Cependant, selon sa famille, l’enfant ne présente aucun problème. Ainsi, les parents ne semblent pas réceptifs quand je leur parle de mes observations.

Comment faire pour rétablir, voire établir la communication avec eux? Je veux tout simplement le bienêtre de cet enfant. Merci!

Bonjour à vous,


En effet, le lien parents-éducatrice est primordial pour le bienêtre de l’enfant. Il permet à ceux-ci d’adopter des pratiques et des stratégies éducatives cohérentes. De cette manière, l’enfant reçoit des messages semblables, peu importe le milieu de vie dans lequel il se trouve. Cette cohérence lui permet de se sentir en sécurité et confiant.

Ce lien est d’autant plus important quand l’un ou l’autre des milieux de vie observe des défis liés au développement de l’enfant. Si les parents se sentent déjà en confiance avec l’éducatrice de leur enfant, ils tendront à être plus ouverts aux observations qui leur sont rapportées.

Cependant, il se peut aussi que les parents soient réfractaires parce qu’ils n’observent pas les mêmes comportements à la maison, parce qu’ils ne sont pas prêts à se faire confirmer le fait que leurs inquiétudes sont partagées par d’autres ou encore parce qu’ils ne voient pas que ces comportements ne sont pas la norme.

En effet, il arrive que les comportements observés en milieu de garde ne soient pas présents à la maison et ce, tout simplement parce que ces milieux de vie sont très différents. Dans l’un, l’enfant apprend à vivre avec 7, 8 ou 9 autres enfants. Ils doivent tous se partager l’attention de l’adulte, attendre leur tour, partager leurs jouets, suivre un horaire assez fixe et donc, vivre plusieurs transitions par jour. À la maison, l’enfant est parfois enfant unique ou encore a-t-il un ou quelques frères et sœurs. Les frustrations ne sont pas les mêmes et elles sont moins nombreuses. Il y a aussi moins de stimulus auditifs et visuels.

Ainsi, si l’éducatrice observe que l’enfant semble souvent dans la lune ou qu’il ne semble pas se sentir concerné lorsqu’elle s’adresse à lui, il se peut que l’enfant soit surstimulé par les bruits et les choses qu’il voit dans son environnement. Cela fait en sorte qu’il ne porte pas son attention sur la personne qui lui parle. Il peut aussi avoir du mal à se centrer sur ce qui se passe autour de lui, n’arrivant pas à éliminer toutes les stimulus qui sont mal gérés par son cerveau. Il se « met dans sa bulle », d’où l’impression que l’enfant n’entend pas ou ne reconnait pas son nom, par exemple. Cependant, à la maison, puisqu’il y a moins de bruit et que l’enfant est en interaction directe avec ses parents, ce comportement peut ne pas être observé.

Il est aussi probable que les parents ont observé les mêmes choses, mais qu’ils ne sont pas prêts à avouer qu’il y a effectivement un problème. Ils tendent alors à changer d’avis fréquemment sur la présence ou non de difficultés chez leur enfant. Cet avis varie en fonction de, par exemple, leurs observations quotidiennes ou l’humeur de leur enfant. S’ils sont rendus à ce stade et qu’ils se font dire par l’éducatrice qu’elle observe les mêmes choses, il se peut que les parents tendent à dédramatiser ce qui est nommé et observé voire éviter momentanément les discussions avec l’éducatrice. N’étant pas prêts à être confrontés aux difficultés de leur enfant, ils vont tendre à faire de l’évitement. Cette situation peut être frustrante pour l’éducatrice qui perçoit que les parents sont insensibles, inconscients ou encore qu’ils ne la prennent pas au sérieux ou qu’ils ne croient pas à la pertinence de son travail. Il n’en est rien, bien souvent; les parents entament tout simplement leur processus de deuil face à l’enfant et la famille idéale et imaginée. Ils peuvent craindre pour l’avenir et penser à tort que leur enfant ne s’adaptera jamais et que la situation s’aggravera. L’éducatrice est donc le reflet de ce que les parents ne veulent pas voir.

Enfin, il se peut aussi que les parents ne sachent pas que les comportements adoptés par leur enfant ne font pas partie du développement typique des enfants. Ils tendront donc à remettre en question les observations de l’éducatrice, convaincus que cette dernière exagère.

Alors, quelles stratégies adopter pour communiquer vos inquiétudes aux parents et vous assurer de leur collaboration?

Axez vos inquiétudes sur le bienêtre de l’enfant; dites aux parents que vous leur communiquez ces observations afin de valider s’ils observent les mêmes choses à la maison.

Sensibilisez les parents à l’importance d’intervenir de façon précoce, peu importe la nature de la difficulté rencontrée. Ils doivent savoir que vous faites cela pour leur enfant, pour qu’il se développe harmonieusement et pour qu’il rattrape les retards qu’il accuse.

Si vous désirez que l’enfant se fasse évaluer en clinique du développement ou par un professionnel quelconque, précisez que c’est simplement pour infirmer ou confirmer la présence d’un trouble. Rassurez les parents en leur disant que peu importe la nature du problème, des stratégies peuvent être mises en place pour aider l’enfant à se développer. Enfin, s’il y a présence d’un trouble, les parents en auront le cœur net et pourront obtenir des services en lien avec les besoins de leur enfant. Si l’évaluation infirme la présence d’un trouble, les parents pourront donc cesser de s’inquiéter.

Lorsque vous nommez les difficultés observées chez l’enfant, parlez aussi des forces de l’enfant, de ses qualités, de ses réussites. Les parents verront donc que vous voyez aussi du positif chez leur enfant, des forces sur lesquelles vous pourrez vous appuyer pour travailler avec lui.

Si vous utilisez des stratégies qui fonctionnent bien, partagez-les avec les parents. Au contraire, si vous ne savez comment intervenir, demandez aux parents ce qu’ils font dans une situation donnée. Advenant le cas où ni vous ni les parents ne savent quelles stratégies adopter, n’hésitez pas à aller chercher de l’aide extérieure. Les évaluations en clinique du développement se font à partir d’une référence du médecin de famille. Le CLSC du quartier de la famille peut aussi les guider dans l’obtention de services et même continuer de les soutenir durant l’évaluation.

Enfin, tentez de respecter le rythme d’acceptation des parents; ils vivent un processus difficile d’acceptation et de deuil.

Bon succès!

Stéphanie Deslauriers

0 Commentaires

    Flux RSS

    Catégories

    Tout
    Autisme
    Dyslexie
    Information Générale
    Intégration
    Langage
    Le Monde Scolaire
    Petite Enfance
    Stimulation
    TDA/H
    Trucs/astuces
    Vivre Avec Un Enfant Différent

    Archives

    Juin 2013
    Juillet 2012
    Juin 2012
    Avril 2012
    Mars 2012
    Février 2012
    Janvier 2012
    Décembre 2011
    Novembre 2011
    Octobre 2011
    Septembre 2011
    Août 2011
    Juillet 2011
    Juin 2011
    Avril 2011
    Mars 2011
    Février 2011
    Janvier 2011
    Décembre 2010
    Septembre 2010
    Août 2010
    Juillet 2010
    Juin 2010
    Mai 2010
    Avril 2010

soufflemotenvol.com